✘ Nom : Balrog.
✘ Surnom : Le bourreau.
✘ Age de mort : 8 ans et demi.
✘ Scenario de la mort : Par suicide. Ayant tué les êtres qui lui étaient le plus cher, il ne pourra jamais les revoirs sur les terres de Try Again.
✘ Sexe : Mâle.
✘ Clan : Royaume Riverhaven.
✘ Grade : Exécuteur.

---

✘ Pouvoir : Contrôle des peurs.
✘ Défaut du pouvoir : Attaques paniques, blackouts sporadiques et incontrôlés et coma soudains pouvant durer jusqu'à une semaine si le pouvoir est sur-utilisé.
✘ Type du pouvoir : mental

---

✘ Source original de votre kit : Création originale de Reira/Zephyra.

✘ Physique : Balrog, comme le décrit tout spécialement son prénom, est d'allure démoniaque. Il est grand, bien fourni au niveau des épaules et est musclé comme un ours. Sur son crâne massif, deux immenses cornes qui s'apparentent à celles d'un cerf noir mâle lui donnent l'air vicieux, sur la défensive. Il profite du contraste entre son pelage d'un blanc de neige et de son regard sanglant pour effrayer ses adversaires, et cela fonctionne à tout coup. En bref, Balrog, n'est pas l'exécuteur le plus sympathique que le royaume ai eu.

✘ Caractère : Il arrive, menaçant, la gueule ouverte et les crocs à découvert. Son regard rouge, reluisant, vous dévisage, vous éviscère de loin et ses cris de fureurs vous scient les pattes, de telle sorte que vous êtes à sa merci. Balrog n'est pas un loup sympathique. Il s'aime et s'apprécie à être une vrai terreur lorsqu'il se promène dans le village et fait comprendre à son Royaume qu'il est dirigé de main de fer. Certes, les trônes sont probablement plus compréhensifs que lui, mais il s'amuse à dire que le Royaume ne pardonne pas les impies.
Balrog aime effrayer, de là viens son pouvoir d'être capable de contrôler le moindre de vos cauchemars. Arrogant et impossible à déstabiliser, peu de loups, mis à part les trônes, osent venir lui parler. Au fond de son impulsivité de bourreau se cache tout de même une rationalité quasi anormale, faisant ressortir son petit côté psychopathe. S'il n'avait pas été aussi haut dans la hiérarchie et aussi utile pour la meute, il aurait probablement été Paria. Heureusement, il s'amuse à démolir tout ceux qui déçoivent Dieu et le Royaume, car c'est un croyant, il à la foi, la foi du sang et il aime ça.

✘ Histoire : Le sang coule d'entre ses crocs. Sa mâchoire, mi-close, tremblote sous le choc et quelques grognements d'incompréhension se glissent entre ses mots. Ces mots qui ne semble avoir ni sens ni contenance. À ses pieds, son fils gît tel le cadavre d'un lièvre fraîchement abattu. Sa compagne, choquée, crie toutes les insultes du monde à Balrog, qui n'en a que faire, pour l'instant. Perdu dans ses pensées, il n'écoute pas les cris de détresse de sa compagne.

« Tu n'es qu'un barbare, Balrog! Comment as-tu pu?! Ton PROPRE FILS! »

Il tourna vivement la tête et son regard, qui dans le temps était doré, vint se poser dans celui de sa compagne de façon mystique et inquiétante. Un grondement vint épouser les parois de l'air environnante et une peur viscérale s'installa en la femelle, qui s'écrasa sur le sol en chialant de plus belle. La taille du mâle, et l'image de son fils éventré devant elle lui avait fait l'effet d'un marteau derrière la tête.

« Pitié Balrog, ne fait pas ça. Tu m'aimes, n'est-ce pas... hein? Bal... BALROG, JE... »

Le loup blanc s'était avancé en lui ordonnant de fermer sa pauvre gueule. Bien sur, elle n'avait que faire, de ses ordres. Terrifiée, elle peinait à enchaîner trois mots sans fondre en sanglots.

« TA GUEULE. » Beugla Balrog.

Il devint menaçant, surplombant la femelle de toute sa taille, les crocs à découvert, imprégnées du sang de son fils gisant derrière lui. La femelle n'eut même pas le temps de crier. Il visa la jugulaire. En une minute, il ne restait aucun souffle de vie en elle.
Réalisant l'ampleur de ses actes, il en perdit la tête.

Il se jeta du haut d'une falaise. Celle qui menait au dépôt de rochers en bas de la rivière, là où ils jetaient les cadavres des anciens et des ennemis.

[...]

Incertain, encore marqué par les événements et ne sachant pas où il était, Balrog avançait doucement, la douceur des lieux et le silence réparateur le troublant au plus haut point. Une présence s'installa à ses côtés puis une immense porte de marbre, à l'arche royale et à l'importance macabre apparut devant lui. La présence se matérialisa sous la forme d'un loup blanc au regard apaisant et aux ailes glorieuses, ce qui fit reculer le jeune mort.

« Viens donc, mon enfant. »

Il ne bougea pas.

« Les portes de la vérité s'ouvrent à toi et te donnent la chance de vivre à nouveau. Ton cadeau, en guise de bienvenue et d'allégeance à ma personne, ce sera ce pouvoir. Fait-en bon usage, et évite de reproduire les erreurs commises dans le passé. »

La sensation était bizarre. Le Dieu disparu soudainement et une vive douleur s'empara de son corps. Un rire réconfortant résonna des cieux et il s'évanouit.

Il se réveilla dans la clairière du chasseur, changé, dans tous les sens du terme. D'immenses cornes lui firent pencher la tête, n'étant pas habitué à autant de lourdeur sur son crâne. Une lueur rouge, malsaine et puissante s'échappait de ses yeux, qui avait doré, à l'époque. Il sentait le renouveau dans sa voix, dans ses pattes, et ce sentiment de renouveau le fit se sentir terriblement bien. Il n'attendit pas bien longtemps avant de se diriger vers le Royaume, comme guidé par la présence de ce Dieu qui l'avait accueillit plus tôt.

Il ouvrit les portes du Royaume, et là, il compris son pouvoir bien assez vite. Les regards n'osèrent même pas se poser sur sa personne. Les jeunes baissaient la tête et se roulaient sur le dos, soumis. Les femelles s'écrasaient au sol en priant et les mâles plaquaient les oreilles sur leur crâne en roulant leur queue entre les pattes. Était-ce donc ça? C'était-il servit de la façon qu'il avait assassiné sa compagne pour lui donner en pouvoir? Machiavélique. Ne le contrôlant toutefois pas, il se rendit compte que c'était très épuisant, et il s'écrasa dans les marches de l'embassade où il fut recueillit par le conseiller de l'alpha.

Ce qui se passe entre le moment où il fut recueilli par l'embassade et le moment où il  remplace l'exécuteur, mort empoisonné, ce n'est pas très important. Mais si je vous disait que le poison avait été concocté par lui et que sa liaison avec le conseiller était très importante, vous comprendrez désormais pourquoi c'est lui qui règne sous le nom de l'exécuteur aujourd'hui.