Encore aujourd'hui je me demande si j'ai fais le bon choix, neanmoins je ne pouvais plus rester chez eux, les Riverhaven, pour eux je ne suis une banni une exilé. Je ne suis plus accepter parmi eux, et çà j'en suis fière. Je ne veut pas d'une vie de mensonge ou chacun doit s'aimer et s’apprécier. Non, entre des loups il y a des ententes, et des désaccords, c'est ce qui vie qu'on vie, qu'on s'améliorer, et qu'on évolue. Je dois m'enfuir, trouver de nouvelle terre, pour le moment je suis seule, mais cela ne va pas continuer longtemps, d'autre me rejoindrons. Je suis patiente, en attendant je chercherais des terres ou les accepter, chacun comme il son, bon ou moins bon nous ne serons plus obligé de nous mentir. Mentir a sois-même.

Je me dirige vers les falaises, l’extérieur du royaume, de la haut il nous arrive de le voir, cette grande ville et ses habitants de menteurs. C'est un bon début, d'ici on peu les voir, les espionner, connaître leurs positions et surtout leurs guerrier. Doit-on avoir un territoire fixe ? ne peut-on pas bouger notre camps de part et d'autre du royaume ? pour pouvoir les surprendre à chaque instant. Je me pose bien des questions, des questions essentiel pour commencer une nouvelle vie, un nouveau règne.

Je grimpe sur cette falaise, montant toujours plus haut, qu'il y a t'il de l'autre côté ? les loups ici n'on pas encore tous explorer, je suis curieuse de savoir ... de conquérir ! Je monte encore et encore excité. Pourtant une odeur non loin me vint, elle ne m'est pas inconnu et pourtant ... cette odeur je ne l’apprécie guère, mes deux cornes commença a s'éclairer de ses éclaires. Je ne contrôle pas se pouvoir, elle réagis a mon comportement, a mon caractère, et s'impose a des moments que je souhaite pas. Pourtant là c'était un moment propice ... arrivé en haut un loup était déjà là, me sentant venir il c'était retourner. Mais que vois-je ... Monsieur l’exécuteur ici présent. Mes babines ouverte, grognant ouvertement, je me fixa au sol, le regardant droit dans les yeux.

Ce loup blanc au regard rouge, un regard qui ne dit rien, n'y a t'il pas de sentiment à l’intérieur de ce corps ? massif, il se retourne vers moi, me regardant dans les yeux. A quoi pense t'il ? que venait-il faire ici ? cela reste des mystère, neanmoins il ne restera pas ici très longtemps ...

Ça sent... la putréfaction. Saleté de Parias.

Je le fixa, laissant échapper un rire  sadique. Putréfaction ? je ne pense pas que tu t'est regarder.

" Tu risque de ressembler a un chien fumant si tu rouvre encore la gueule ... sale chien du royaume "
Sinon... on s'amuse bien ces temps-ci?

Ose t'il me dire ? je m'avanca vers lui, laissant une certaines distances, de sécurités, et une distance signalant que nous ne somme pas amis. Je le dépassa, le fixant des yeux. Je ne baisserais pas mes yeux faces à lui, et fini par me mettre devant lui. Sortant le torse et les griffes.

" Que vient-tu faire ici ? tu n'est pas le bienvenue sur ses terres ... "

Continuant de grogner, laissant échapper des éclaires sous mes pattes, je pouvais sentir le courant me traverser, essayant temps bien que mal de ne pas me faire mal avec cet foudre, me calmant tous en restant prêt a tous moment si le loup souhaitais se battre.

Il se rapproche de quelque pas vers moi, avec son air de monsieur je sais tout, monsieur je suis le plus fort. Il m'agace au plus au point. Je n'ai qu'une envie le faire gouter a mes crocs et le foudroyer jusqu'à ce qu'il put le chien fumant.

J'admire ce qui appartiendra bientôt au Royaume, femelle, voilà ce que je fais ici

Ce que quoi ???! si tu crois que ses terres vous appartiendrons tu peu rêver mon chère. Je fis quelque pas vers lui, me situant devant lui, face à face je le regarde dans les yeux. Lui laisse un sourire sadique. Restant là quelque seconde, puis bondis sur le loup sans surprise. Je me doute qu'il savais que cette rencontre finirais en duel, mais quand ? comment ? sa il ne savais pas. Je ne fis que lui sauter dessus, ma gueule juste au dessus, les crocs sortie, grognant suffisamment fort pour lui donner un avertissement.

" Rien ici ne t'appartiendra. Ceci est un avertissement, dégage, hors de ma vue ! "

Lui gueulais-je en pleine face, lui laissant voir mes yeux jaunes, et les éclairs foudroyant mes cornes. Je ne comptais pas le laisser là, sans rien. Après l'avoir avertis je pris une de ses pattes dans mes crocs et lui laissa une morsure saignante. Je me leva brusquement, la tête vers lui, le fixant, me préparer au pire.

" Ou tu goutera a mes crocs, quitte a te noyer dans ton sang. C'est claire ?!"

Mes griffes sorties, griffant le sol, le fusillant du regard.

Alors que je venait de le laisser là au sol, une blessure à la patte, légère qui plus est. Je me dis qu'il finira par dégagez ... pourtant je savais qu'il n'allais pas le faire ... j'ai voulu être gentille et cela c'est retourner contre moi. Le loup me bondis dessus attrapant mon museau entre ses crocs, me laissant une blessure. Je ricana, si tu crois que cela suffit. Pourtant ce geste me mit en rogne ... et lorsque je m'énerve mon pouvoir s'énerve. Celui-ci commença a parcourir mon corps, de mes cornes a mes pattes, je pouvais sentir la foudre, mes poils comme mes cornes commença a devenir jaune, sentant la force, ainsi que la douleur de la foudre traversant mon corps. J'étais plus résistante au choc, mais pas pour autant immunisé. Je sentais la douleur, la douleur me parcourir, mais j'étais trop énerver pour m'en rendre compte vraiment.

Si tu ne sais pas te battre comme une vrai guerrière alors je peux te garantir que tout ce qui se trouve ici m’appartiendra, pauvre débile.

Débile ? désoler s'en était trop ... je grogna bruyamment, et couru dans sa direction, pour bondir sur lui. La gueule ouverte je pris entre mes crocs la première chose qui me venait, actuellement c'était son cou. Je monta légèrement ma prise pour eviter de me faire prendre le cou par ses crocs à lui. Pourtant la fureur était monter, trop haute, je ne sais pas me contrôler. Ainsi alors que la foudre traversait mon corps, je donna un coup de patte au loup adversaire, lui donnant un choc électrique. Je retira mes crocs sans ouvrir la gueule, pour prendre avec moi un bout de sa chair, continua a le tenir au sol, ma patte électrique sur son torse, le bout de chair dans mes crocs, je lui cracha au visage.

" Je crois que tu n'a pas bien choisis ton adversaire sale cabot ! "