Le soleil se lève sur les magnifiques terres du royaume. Une douce brise légère passe au dessus de celles-ci. Le soleil levant, illumine déjà les petits cristaux dont est composée la neige. À cette heure très matinale, les proies sont sorties. Les meilleurs moments pour en voir c'est surtout la nuit et le matin, pour les cervidés. Pour les cervidés mâles, donc chevreuils ou daims pour certains, il est plus difficile de les chasser. Ils possède une ramure cependant, nous on a le pouvoir. On ne le contrôle juste pas... pour beaucoup... bref.
Pour ce qui est des biches, ou des faons, c'est plus facile de les chasser. Une légère rumeure circulaient sur le royaume, comme quoi le garde-manger était vide. Mais ce fut bien vite une réalité. Certains canidés, se sont portés volontaires ou même on leurs a confié la mission de chasser. Pour d'autres ils se sont proposé... pour d'autres... c'est une mission qui à été confiée. Une mission pas très compliquée je dois dire.. surtout pour des chasseurs expérimentés. Cependant ce n'est pas que des chasseurs qui chassent mais aussi ceux qui sont de la basse société, du coup.... bref.
Le loup tricolore ouvre un oeil, puis deux. D'abord ébloui par le soleil, il ronchonne. Ses mirettes s'habituent cependant très vite à la lumière du jour. Il est un des lèves-tôt. Ce n'est pas à son habitude.... mais il va au moins aider un peu pour faire retrouver au garde-manger, un peu de son éclat.
Le canidé lâche un gros baillement profond, puis se lève avec difficulté, les pattes encore ankylosées. Puis il s'étire de tout son long avant d'entammer sa marche vers la clairière du chasseur. Il était sûr et certain de trouver encore des traces de proies fraîches là bas. Il s'écoule à peine peut-être une dizaines de minutes avant qu'il n'arrive aux frontières du royaume, ainsi qu'à la clairière. Une vaste et grande clairière. Toute enneigée. Le soleil se refflete sur la neige ce qui oblige le loup à relever la tête. Il balane sa tête en arrière et hume un bon coup. Un délicieux fumet lui vient alors jusqu'aux narines. Un fumet de cervidé, un faon peut-être. Il se remet donc en marche, suivant l'odeur discrètement.
Rendus sur les mêmes lieux que la proies, le tricolore avait visé juste. C'étais bien un faon. Un faon qui s'étais égaré... possible ? Parce qu'il ne décella aucune autres odeur appartenant à une biche, ou cervidé. Du coup la mère n'était pas dans les parages, c'est parfait. Un petit rictus se dessine sur les babines du canidé. Il avance à pas feutrés, se faisant tout petit. Dès que le faon tourne la tête il s'immobilise dans un petit buisson. Puis après il continue jusqu'à ce qu'il soit à un mètre à peine de celui-ci. Il fit la statue un moment. Il l'observe un moment. Ne le quittant pas des yeux. La peur se sentait dans la proie, la peur et l'inquiétude. Un petit cri s'échappe alors de la gorge du petit faon lorsqu'il apercu deux petits yeux luisants dans un buisson. Les oreilles du canidés étaient pointées en avant et toute sa concentration était visé sur une seule et même chose : La proie.
Puis d'un seul coup, le loup sors des buissons, bondissant sur la proie qui s'écroule au sol. Skyfall reçoit un petit coup de sabot dans l'arrière-train, ce qui le fit gronder. Le faon se débat sous son emprise et d'un seul coup, le canidé lui coupe la jugulaire. Le faon rend son dernier souffle entre les crocs du loup. Il se lève, vainqueur de se petit combat contre une proie. Fier, il tire sa roie jusqu'au royaume.

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